PLAC’ART EDITION

Le Plac’Art Edition c’est quoi ?

 

Une performance musicale + une estampe originale + un VJset

Un(e) artiste des Hauts-de-France crée une estampe originale en lien avec l’univers d’un autre artiste ou groupe de musique.

Suite à cette rencontre artistique, nous éditons 50 exemplaires de cette estampe numérotés/signés sur papier art 250g format 38 x 56.

Venez découvrir cette rencontre artistique lors d’une performance en direct, et rencontrer les artistes !

10 € (performance + VJset)

20 € (performance +VJset + estampe)

 

Buvette sur place et petite restauration

Réservations et infos :

contact@lesateliersdelahalle.fr – 06 78 79 30 76

 


Plac’Art Edition #16

2 février 2024 dès 21H00 – Hôtel de Guînes – ARRAS

 

BLUMI + knapfla + Nymphe Fleurie

/ une soirée – 3 créatrices /

Une édition avec uniquement des artistes femme autour de BLUMI !

BLUMI

Multi-instrumentiste à la voix marquante, Blumi (de son vrai nom Emma Broughton) continue son travail d’exploration, dévoilant progressivement le champ musical et émotionnel de ses compositions.

 

Après un premier EP folk (2021) très remarqué par la critique, elle sort there is no end in me.(2022), EP plus expérimental, et présente ses nouvelles créations en formule groupe.

 

Les morceaux de Blumi sont faits d’air, de silence, mais emplis de passion, d’émotions, d’énergie. Emma Broughton, de son vrai nom, se cadre et se libère en écrivant.

>> Ecouter sa musique

knapfla

De son vrai nom Géraldine Federspiel, a grandi dans la campagne alsacienne, a étudié les Arts Appliqués, puis a été styliste infographiste textile.

 

Aujourd’hui, illustratrice, dessinatrice, rêveuse… elle n’a jamais su donner un nom exact à son travail, mais heureusement pour le bien de tous, elle n’est pas cuisinière (même si elle adore manger et dessiner toutes les spécialités alsaciennes qui finissent par « a », dont les knapfla).

 

Les « knapfla » sont une spécialité culinaire alsacienne, ils ressemblent à de grosses et succulentes pâtes.

>> Découvrir son travail

Nymphe Fleurie

Mathilde Lefebvre

alias Nymphe fleurie, artiste visuelle lilloise, envisage le VJing comme un moyen de transmettre son univers pétri de féminin et de douceur.

 

Elle aime créer des atmosphères laissant la place à la rêverie en utilisant des visages et des corps  pour les mélanger avec des textures naturelles racontant alors, des histoires à la fois douces et violentes, belles et mélancoliques.

>> Découvrir son travail

 

Pensez à réserver pour cette rencontre artistique exceptionnelle, en nous contactant par e-mail.

 


Plac’Art Edition #15

1er décembre 2023 dès 20H00 – Université des Compagnons du Tour de France

21 Av. Paul Michonneau, 62000 Arras

 

Suite à l’évènement tragique survenu le 13 octobre au Lycée Gambetta-Carnot à ARRAS, nous avions du annuler le Plac’Art Edition #15.
L’équipe des Ateliers de la Halle, les artistes et l’Université des Compagnons du Tour de France, n’avaient qu’une hâte, trouver une nouvelle date pour reprogrammer cette soirée exceptionnelle.
C’est chose faite !!!

Rendez vous le vendredi 1er décembre 2023, toujours à l’Université des Compagnons du Tour de France, à partir de 20H00.

Pour la 15ème édition, les Ateliers de la Halle invite le groupe Rouennais ELLAH A. THAUN pour une rencontre artistique avec HERVOUS qui réalise la nouvelle estampe.

 

HERVOUS

« Plasdinier », manipulateur botanique, Hervous concocte des mélanges de plantes et d’herbes psychotropes inconnues du grand public, et en extrait des compositions florales surprenantes, à des fins exclusivement plastiques.

 

ELLAH A. THAUN

Inclassable, le quartet qui fête ses 7 ans d’existence et propose « u n mélange de grunge, punk rock, power pop, black metal rendu étrangement homogène » d’après Le Gospel, est un mur-de-son aussi sûrement jubilatoire que poignant : Emmené par Nathanaëlle-Eléonore Hauguel, celle qui fût sacrée « première dame de France en terme de trans identité » par Vice en 2015 ou encore « s takhanoviste de l’occulte » selon Mowno produit près d’une trentaine d’albums allant de la folk délabrée à la techno stellaire, édités sur cassettes, vinyles et maltraités en live depuis ses 23 printemps.

 

C’est d’abord avec Aurore Gosalbo, reconnues comme progénitures spirituelles de Genesis P-Orridge chez Gonzaï, puis entourée des vétérans hyperactifs de la scène hardcore, Samuel Antonin et Antoine Boyer (The Elektrocution, Burn Hollywood Burn) ayant parcouru l’Europe dans les 00’s, que la performeuse trouve son équilibre sur scène. En tête d’affiche des smacs comme des squats, des clubs aux galeries d’art, on retrouve le groupe en ouverture des Youngs Gods comme Catherine Ringer, passant par les Black Lips, JC Satan, Zebra Katz ou le collectif techno des Filles de la Soeur.

 

Après un premier album chez XVIII Records défendu en 2019 et c onsidéré comme « u ne vraie réussite » par Libération, le groupe très soudé construit une suite ambitieuse, Arcane Majeur Deux. Enregistré par Arno Van Colen (Bryan’s Magic Tears), toujours masterisé par le gourou de la scène garage australienne Mikey Young (Eddy Current Suppresion Ring), l’album sort au printemps 2022. Ce disque noir, baroque, aux arrangements et à la structure labyrinthique, nous récite les Beach Boys comme la Manson Family en 38 minutes narquoises, que l’on ne peut décidément pas réduire à ses tubes énigmatiques (parce qu’il y en a), mais bien à des hymnes uchroniques pour une génération fantôme.

Découvrir ELLAH A. THAUN

 


Plac’Art Edition #14

22 mai 2023 dès 20H00 – Hôtel de Guînes – ARRAS

Pour la 14ème édition, les Ateliers de la Halle invite le groupe Arrageois BAASTA! pour une rencontre artistique avec fredox qui réalise la nouvelle estampe.

BAASTA!

Originaire d’Arras, dans les Hauts-de-France, le duo formé François-Xavier Notel et Yoann Dirryckx a sorti en 2020 un premier album remarquable intitulé “Paanic…”.

 

Un coup de maître grâce à des titres comme Fosbury, Loser ou Le soir des lions, qui sortent du lot avec des textes en français chantés, rapés et slammés sur une base très rock and roll.

 

Leur nouvel album “MadCalais” est sorti le 28 avril 2023, produit par Pascal Gabriel qui a entre autre travaillé avec New Order, Goldfrapp, Inspiral Carpets…

www.yabaasta.com

fredox

Né en 1968, fredox intègre durant 4 ans les beaux-arts de Cherbourg et Tourcoing, puis se forme à l’infographie au Centre d’Art et Industrie de Tourcoing.

 

Il débute sa carrière de graphiste indépendant en 1993. Passionné par le dessin et la photo, il est plasticien depuis 2020.

 

« Son œuvre se base sur les photographies qu’il réalise, capture au fil de ses déambulations urbaines, de ses voyages, … Nul interdit dans les sujets ainsi glanés et qui ressemblent à un inventaire à la Prévert.

 

Que ses propres images soient analogiques ou numériques, qu’il y est figure ou non, l’artiste n’a de cesse de tisser à leur surface des traits au fil de son stylet d’orfèvre numérique.

 

Qu’il y ait motifs ou errance graphique faite de pleins et de déliés, sa dentelle graphique obsessionnelle sonde, tant l’aspect formel de ses images que ce qu’elles véhiculent de sens, pour ensemencer nos regards d’une poésie singulière. » (c) Eric Rigollaud (Bureau d’Art et de Recherche – La Qsp galerie).

 

 


Plac’Art Edition #12

Plac’Art Edition est enfin de retour après trois années d’absence !

Pour ces retrouvailles les Ateliers de la Halle vous ont concocté une soirée exceptionnelle

Nous avons invité le groupe Lillois DEAR DEER et l’artiste en art numérique et performer Jean-Philippe Loridan et son projet Pitch Visualive.

DEAR DEER

 

Ce duo, formé en 2015, venu de la capitale des Flandres, forme un couple à la scène comme à la ville. Influencé par The Kills, New Order, ou encore les B-52’s leur son est à la croisée du pop-rock, de l’électro et de la new-wave.

Glamour, leur esthétique pailletée soutient un rythme disco et vener, enrobé de basse et de guitare fuzzy.

Taillés pour le live qu’il s’agisse d’un concert à l’Aéronef de Lille ou d’un concert aux confins de l’Europe de l’Est, ils partagent leur furieuse envie de danser, ça sent les vacances à Berlin et le dancefloor année 80 !

 

www.deardeerfr.bandcamp.com

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PITCH VISUALIVE – Jean Philippe Loridan

 

Issu des beaux-arts de Dunkerque et de Tourcoing, artiste et performer vidéo, il s’illustre sur de nombreux projets tel que PITCH VISUALIVE.

Artiste numérique, son travail construit une réalité augmentée kaléidoscopique qui varie entre dépouillement et saturation.
Ses mondes virtuels portent en eux des réminiscences de notre société actuelle éclatée en de multiples facettes.

Il sera pour ce nouveau Plac’Art Edition l’auteur de l’estampe créée spécialement pour l’évènement, et l’artiste VJ qui performera en direct sur le concert de DEAR DEER.

 

www.jeanphilippeloridan.com

Rendez-vous dès 20H00 le 10 février à l’Hôtel de Guînes – ARRAS

 


Plac’art édition – Hors Série

Estampe – Sérigraphie – Vinyle – Projection Mapping – Concerts
Artiste Plasticien : Isabel Baraona / Emanuel Kowandy
Musiciens, Groupes : Bärlin – Cyril – Metro Verlaine – Anouk Amati (ex EVRST)

Tarifs : Vinyle +Concert : 30€ / Estampe + Concert : 20€ / Concert : 10€ / étudiant : Gratuit

Réservez sur notre site (page contact).


Plac’Art édition n°9

23 novembre 2018 – 20h


Plac’Art n°7 :

Espace Marcel Roger, 11 place de l’ancien rivage, 62000 ARRAS

Le principe est simple.

Un artiste découvre l’univers musical d’un groupe de notre région. Il crée une oeuvre que nous éditons à 50 exemplaires numérotés/signés sur papier art 250g format 38 x 56. 

Ensuite il vous suffit de souscrire au prix de 20 € pour recevoir votre estampe et être invité au concert privé du groupe. Devenez collectionneur d’art à peu de frais ! >contact

Offre limitée aux 50 premiers souscripteurs. 

L’ARTISTE : Hélène Claudel Graphiste / Plasticienne, Lille

http://www.lnclaudel.com

LE GROUPE : Birds Of Dawn Après avoir exploré les limites d’une folk minimaliste en duo, Birds Of Dawn se transforme en une véritable machine pop/rock raffinée, résolument orientée vers l’avenir. Instruments à cordes et à vent explosent au sein d’une rythmique obsédante et d‘un mélange voix/guitare ensorcelant.

http://www.birdsofdawn.com


Plac’Art édition n°6


« Un peu de Manchester, un soir de décembre à Arras » (Axel Verlaine)

Plac’art Édition n°6 – Arras, le 2 décembre 2017
Emmanuel Kowandy / Metro Verlaine
Entretien croisé – propos recueillis par paul-éric P.

Le principe est simple : un artiste découvre l’univers musical d’un groupe. Il crée une œuvre éditée sous forme d’estampes en 50 exemplaires numérotés et signés.

Mais est-ce vraiment aussi simple ? Oui, à en croire l’entretien croisé entre Emmanuel Kowandy d’un côté, artiste découvert grâce au magnifique travail qu’il a présenté pour les Nuits des Bassins 2017, avec le collectif TRIII / ADN et Metro Verlaine de l’autre, groupe prometteur, originaire d’Evreux (un peu au sud de Manchester) ardent défenseur d’un post punk chanté en français et puisant son inspiration dans ce qui s’est fait de mieux à cette période charnière de la fin des années 70 et du début des 80.

Entre Emmanuel Kowandy et les Metro Verlaine, le courant est si bien passé, qu’une fois la première question posée, j’aurais pu partir et laisser tourner l’enregistrement…

Parce que oui, bien sûr, les Metro Verlaine se sentent concernés par les questions de représentation graphique et qu’ils évoquent sans surprise, par la voix d’Axel (guitare), fondateur du groupe avec Raphaëlle (chant), le légendaire label Factory et les pochettes de Peter Saville, designer attitré de la maison de disque fondée par Tony Curtis.

Parce que oui, Emmanuel a perçu cela et qu’il s’est permis d’introduire une référence dans son travail pour ce Plac’art – « un écho caché » nous dit-il – aux ondes radios figurant sur la célèbre pochette du premier album de Joy Division (Fact 10).

Parce que oui, Emmanuel aussi a une attitude punk et qu’il nous explique, en réponse à Romain (basse) qui trouve que le personnage créé par Emmanuel semble « nous regarder de haut », qu’en fait le but « c’était vraiment de dire, je fais ce que je veux et je vous emmerde, j’assume ce que je suis… ».

Parce que oui, Emmanuel révèle que le métier qu’il exerce, il le doit à la musique, que le projet fondateur du collectif TRIII /ADN avait pour cadre les Eurockéennes de Belfort, qu’il a réalisé des pochettes pour des albums d’électro ou de post rock et bien sûr des clips.

Et parce qu’enfin, Emmanuel comme les Metro Verlaine sont des collectionneurs, qu’ils font partie de ces gens qui achètent des vinyles et parfois juste pour la pochette (un grand « oui » unanime quand on leur pose la question !), même si certains, mais ça c’est le côté punk, les punaisent sur leur mur !

Emmanuel : c’est un travail qui fait partie d’un ensemble, d’une série que j’ai adaptée pour la rendre totalement graphique ; je suis plutôt un artiste numérique, j’utilise beaucoup le pixel, la fragmentation d’images, j’aime bien travailler avec les erreurs, mon travail est d’ailleurs basé sur les erreurs de Photoshop, sur les fragmentations qui se produisent parce que j’ai fait une manipulation par erreur et que j’obtiens alors des choses improbables.

Axel : je suis d’accord avec toi quand tu parles d’erreur, je trouve ça bien parfois. Pour Manchester, il faut savoir que je l’ai écrite sur une poubelle, en répet, genre on fait quoi là ? « J’irais crever à Manchester… », ça été écrit en une fois, il n’y a pas eu de retravail. Et c’est ça l’idée d’erreur, j’aurais pu me dire, on a un bon truc, je vais le bosser, et puis Raphaëlle, juste elle l’a chanté, et je me suis dit on ne touche plus à rien, pas besoin…

J’avais justement prévu de questionner Metro Verlaine sur leurs textes qui dégagent quelque chose de très fort, de très angoissé parfois, sur ce rythme qui inscrit une sorte de scansion, même si cela ne se retrouve pas toujours dans le chant, mais plutôt lorsqu’on lit les paroles, et je leur cite ce passage issu de Manchester :

Des rubans noirs autour des yeux
Quand sous la brume des réverbères
Il y a des gosses qui ont la rage
Qui tombent au sol sans voir la plage

Axel : je défends le truc à la William Burroughs, où tu fermes les yeux et tu écris… Parfois c’est nul à chier et parfois tu extrais quelque chose… Pas besoin de te mettre dans un château avec des bougies… Parfois juste sur un coin de poubelle entre deux bières, y a un truc cool qui sort.

Après l’entretien, ce sera l’heure du concert, devant un public attentif mais peut-être un peu trop discret au goût de Raphaëlle… Un concert au cours duquel la rencontre entre l’artiste et le groupe est devenue une collaboration grâce à l’initiative d’Emmanuel se saisissant de l’occasion pour présenter une projection vidéo tout au long de la prestation captivante des Metro Verlaine.

Plus que jamais inscrite dans l’esprit Plac’art, dont le principe est donc d’une évidence même, cette soirée aura tenue toutes ses promesses grâce aux artistes invités jouant le jeu jusqu’au bout.

On aura le plaisir de continuer à suivre Emmanuel, en résidence aux Ateliers de la Halle tout au long de cette année :vEmmanuel : je suis en résidence avec les Ateliers pour développer la sérigraphie, pour voir comment passer du numérique au papier et expérimenter, faire des choses qui ne soient pas formatées, casser les codes, trouver d’autres orientations, d’autres voies…

Quant aux Metro Verlaine, ils étaient la semaine qui suivait le Plac’art à Bar en Trans dans le cadre des Transmusicales de Rennes, annoncent un album à venir (Cut Up, sortie prévue le 16 mars 2018) et une tournée qui devrait les mener en Angleterre, Allemagne, Suisse…

Axel : …et on attend la sortie du nouvel album de nos copains de Crocodiles pour éventuellement faire le groupe support aux États-Unis et ça, ça nous plairait vraiment beaucoup !

À ces mots les trois autres ont des étoiles plein les yeux. À vrai dire on ne peut que se réjouir pour eux tant ces quatre là (les trois déjà cités plus Joe, le batteur dont il faudra un jour reparler du jeu si particulier, debout face à ses deux fûts) nous ont convaincu, par leur musique (oui, avant tout), leur attitude (punk) leur enthousiasme (jusqu’au bout de la nuit…). Sacré famille ces Verlaine !


Plac’ART édition #5

Luc Brevart / Charbon

Un évènement à ne pas rater !
Le principe est simple. Un artiste découvre l’univers musical d’un groupe de notre région.
Il crée une oeuvre que nous éditons à 50 exemplaires numérotés/signés sur papier art 250g format 38 x 56.
Ensuite il vous suffit de souscrire au prix de 20 € pour recevoir votre estampe et être invité au concert privé du groupe CHARBON le 22 Avril à l’Hôtel de Guînes, Arras.

Devenez collectionneur d’art à peu de frais !
offre limitée aux 50 premiers souscripteurs. 

Réservation : lesateliersdelahalle@gmail.com


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PLAC’ ART EDITION… c’est parti !

Les Ateliers de la Halle ont lancé ce vendredi 13 février 2015 « PLAC’ ART EDITION », édition d’estampes (que d’autres appelleront affiches) de groupes de musiques actuelles en tirage limité, résultant de la rencontre d’un artiste plasticien et de musiciens.
Lors de la présentation de l’estampe les 30 premiers collectionneurs (sur un tirage de 50 exemplaires) sont invités à un concert privé aux Ateliers.
PLAC’ ART EDITION c’est l’occasion de commencer une collection d’estampes d’artistes à un prix très abordable, mais aussi de rencontrer des musiciens dans l’atelier et de s’ouvrir à de nouvelles sonorités.
Pour cette première, nous avons réuni Antoine Kempa, artiste en résidence aux Ateliers de la Halle et le groupe punk rock Slice of Life.
Un premier succès pour PLAC’ ART EDITION, avec plus de 30 estampes vendues et des collectionneurs impatients de découvrir la n°2 qui verra le groupe Charbon aller à la rencontre du graphiste belge Damien Pairon (ou l’inverse ! ).

Réservez dès maintenant


Une réflexion au sujet de « PLAC’ART EDITION »

  1. L´édition d´estampes originales nous touche, nous émeut, stimule notre créativité ; quand la musique cette autre écriture de l´art est associée, la fête est parfaite … Merci pour ce partage…

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